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28 septembre 2008

15ÈME FESTIVAL DE DIAPORAMAS DE PONTIVY

DPI vous informe.... et DPI vous invite à vous déplacer à Pontivy (56), à l'occasion du 15ème Festival des Images et des Sons...

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Le programme (cliquer sur l'image pour l'agrandir et la rendre totalement lisible):
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UN NOUVEAU CAPTEUR....SUPER CCD EXR

« Super CCD EXR » : le capteur qui ouvre la voie à une nouvelle ère de la photographie de qualité.
Elaboré par des spécialistes de la photographie pour les spécialistes de photographie, le Super CCD EXR est un capteur « trois en un » dédié tout à la fois à la très haute résolution, la haute sensibilité et l’élargissement de la plage dynamique.
La « Technologie Image Réelle » s’appuie sur la certitude que les photographes avertis ont bien compris que la qualité réelle d’une image est la résultante de plusieurs facteurs tels que la gradation, la saturation, la fidélité des couleurs, la gamme des valeurs enregistrables, la définition et la résolution.

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Il est largement admis que la « haute résolution » et la « haute sensibilité » sont des caractéristiques antagonistes souvent impossibles à optimiser conjointement sur le même capteur, et ceci particulièrement sur les appareils compacts. Plus les photodiodes sont petites, plus il y a des problèmes de bruit électronique, de diffusion, de diffraction et de cassures.
Parallèlement à cela, il faut considérer que les caractéristiques à privilégier sont souvent dépendantes du sujet à photographier. En effet, la haute sensibilité est attendue pour les situations de faible luminosité, les sujets très contrastés nécessitant une large gamme dynamique, tandis que la restitution des très fins détails (les feuilles des arbres ou les mèches de cheveux) exige une forte résolution.
S’appuyant sur ce constat, Fujfilm s’est attaché à mettre au point un capteur au comportement flexible susceptible de s’adapter aux attentes du photographe, le but ultime étant de proposer un capteur épousant au plus près le fonctionnement de l’œil humain.

Lire la suite : http://www.actuphoto.com/8381--super-ccd-exr-le-capteur-qui-ouvre-la-voie-a-une-nouvelle-ere-de-la-photographie-de-qualite-.html
Extrait de "ActuPhoto"

27 septembre 2008

BIENTÔT UN STANDARD DE MÉTADONNÉES ...

Apple, Microsoft et Sony partenaires pour la création d'un standard de données photo

Apple, Microsoft et Sony, mais aussi Adobe, Nokia et Canon, sont à l'origine du projet Metadata Working Group, un nouveau système standard pour les données dédiées aux photos.
Le but de ce projet est de créer un système standard interopérable pour les données, qui pourra ensuite être utilisé par les logiciels de traitement et d'indexation d'images afin d'aider à l'organisation et à la classification de photos en fonction de critères comme l'emplacement, la date et le sujet.

Un enjeu important pour les photographes pros comme pour le grand public !

(Vnunet.com en date du 25 septembre 2008, intitulé Heavyweights team up on photo data standard)

26 septembre 2008

LA PRESSE A PARLÉ DU SUCCES DU SALON BIO 2008 ...

3ÈME SALON BIO - ECOCITOYENNETÉ

Le Pays Malouin, édition n° 3225 du jeudi 25 au mercredi 1er octobre 2008.
Cliquer sur l'image pour lire l'article.

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Ouest-France, du 23 septembre 2008
Cliquer sur l'image pour lire l'article.
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DPI VOUS DIT PLUS... N°5

T Flash] Lettre 488 du 26 septembre au 2 octobre 2008

Édito : Le réchauffement climatique risque d’entraîner une élévation massive du niveau des mers et de diminuer sérieusement les ressources en eau

Voilà qui vient confirmer, hélas, les propos de notre récent invité Hervé Le Treut, spécialiste de climatologie....

Selon de récentes études scientifiques convergentes, les changements climatiques menacent sérieusement les ressources en eau de la planète et risquent également d’entraîner une hausse bien plus importante que prévue du niveau des mers. Un rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement publié le 2 septembre révèle que tous les glaciers auront fondu d’ici à la fin du siècle, ce qui devrait mettre en danger l’approvisionnement en eau de centaines de millions de personnes. Ce rapport confirme que la moyenne annuelle des taux de fonte des glaciers a doublé après le tournant du millénaire, avec des pertes record en 2006 au niveau d’un réseau de sites de référence.

Entre 1996 et 2005, les glaciers ont, selon ce rapport de l’ONU, perdu en moyenne l’équivalent en masse d’un mètre d’épaisseur d’eau, ce qui représente le double de la fonte observée durant la période 1986-1995, et plus de quatre fois la masse perdue entre 1976 et 1985. Les rares périodes de gains de masse se trouvent dans les Alpes à la fin des années 1970, au début des années 1980 dans les zones côtières de la Scandinavie et dans les années 1990 en Nouvelle-Zélande. Le programme des Nations Unies pour l’environnement rappelle aussi que l’augmentation moyenne mondiale de la température de l’air est d’environ 0,75°C depuis la fin du 19ème siècle.

"Les glaciers de l’Himalaya, région où la subsistance de 1,3 milliard de personnes est en jeu, reculent plus rapidement que partout ailleurs dans le monde", affirme Mats Eriksson, responsable du programme pour la gestion de l’eau au Centre international du développement intégré des montagnes. Bien que les hautes altitudes, l’éloignement et la coopération difficile entre les pays de cette région compliquent les études pour comprendre le phénomène, M. Eriksson estime qu’il est évident que "la région est particulièrement affectée par les changements climatiques". "Le recul des glaciers est énorme, jusqu’à 70 mètres par an", précise-t-il.

Xu Jianchu, qui dirige le Centre pour les études de l’écosystème montagnard en Chine, assure lui aussi que le changement climatique ravage l’Himalaya, soulignant par exemple que les températures sur le plateau tibétain ont augmenté de 0,3 degré par décennie, "le double, note-t-il, de la moyenne mondiale".

Il est difficile de quantifier les répercussions sur les disponibilités en eau, mais l’impact est réel dans la région où glaciers et neige contribuent à 50 % de l’eau qui coule des montagnes et alimente neuf des plus grandes rivières d’Asie. L’Himalaya, connu pour "être le toit du monde", s’étend à travers la Chine, l’Inde, le Népal, le Pakistan, la Birmanie, le Bhoutan et l’Afgas. La chaîne montagneuse constitue une source importante d’eau pour l’une des régions les plus peuplées de la planète, soit 1,3 milliard de personnes recensées dans le bassin de l’Himalaya. "La neige et la glace fondent, fournissant une source très importante d’eau fraîche pour l’irrigation, l’énergie et l’eau à consommer en aval", explique M. Xu.

Les glaciers ont d’énormes capacités de conservation de l’eau. Si les niveaux d’eau augmentent à mesure que la glace fond, à long terme, la disparition des glaciers va réduire l’eau disponible en aval. "La subsistance (des populations) sera durement affectée" par ce phénomène, souligne M. Eriksson. Parallèlement à la fonte des glaces, les scientifiques notent que les précipitations dans nombre de régions de l’Himalaya apportent plus de pluie en période de mousson et moins en période sèche. "Les régions plus sèches deviennent encore plus sèches alors que les régions les plus humides deviennent encore plus humides", résume Rakhshan Roohi, chercheuse à l’Institut de recherches en ressources en eau du Pakistan.

Selon M. Eriksson, les effets des changements climatiques ont été particulièrement ressentis dans la partie ouest plus sèche de l’Himalaya. Outre les conditions climatiques incertaines pour les récoltes, qui ont provoqué la migration de personnes à la recherche de moyens de subsistance alternatifs, les agriculteurs sont confrontés à un nombre croissant de désastres naturels tels que des crues soudaines et le débordement des lacs. "J’imagine qu’auparavant, la région souffrait d’une crue soudaine par saison et les gens arrivaient peut-être à s’y adapter. Mais si on a trois, quatre ou cinq crues soudaines, c’est probablement trop. La question est de savoir combien (de crues) la population est capable de tolérer sans perdre ses bases de subsistance", conclut M. Eriksson.

Une autre étude publiée en août 2008 montre que deux des plus grands glaciers du Groenland sont en passe de se désintégrer. Un morceau de 29 kilomètres carrés du glacier de Petermann dans le nord du Groenland s’est détaché entre le 11 et 24 juillet, ce qui correspond à la moitié de la superficie de Manhattan, a précisé Jason Box, professeur-associé au centre de recherche polaire de l’Université d’Ohio (nord) dans un communiqué. Les précédentes pertes importantes de glaces flottantes subies par le glacier Petermann, à savoir 86 kilomètres carrés, se sont produites entre 2000 et 2001.

Mais ce qui inquiète encore davantage Jason Box et son équipe dans les dernières images satellitaires est une énorme brèche partant du bord du glacier Petermann et qui pourrait signaler la brisure prochaine d’une partie beaucoup plus importante. Si la cassure se produit jusqu’au rift en amont du glacier, une portion allant jusqu’à 160 kilomètres carrés pourrait alors se détacher, ce qui représenterait un tiers de la masse du glacier, ont expliqué ces scientifiques. Le glacier a une surface de flottaison de 16 kilomètres de large sur 80,4 kilomètres de long, couvrant 1.295 kilomètres carrés. Ces scientifiques ont aussi indiqué que l’immense glacier Jakobshavn poursuivait sa contraction et que sa bordure n’avait jamais été aussi loin à l’intérieur des terres en 150 ans d’observation.

Selon eux, ce glacier ne s’est pas contracté aussi loin depuis au moins 4.000 à 6.000 ans. Le bras nord du Jakobshavn s’est détaché au cours des dernières semaines et le glacier a perdu dix kilomètres carrés depuis la fin de la dernière saison de fonte. Au moins un dixième des icebergs du Groenland proviennent du Jakobshavn, ce qui en fait le glacier le plus productif de cette région. Le glacier a perdu 94 kilomètres carrés entre 2001 et 2005, un phénomène qui a fait prendre conscience de l’ampleur de l’impact du réchauffement climatique sur les glaciers dans le monde, ont relevé ces glaciologues.

Une arche de glace de 60 mètres de hauteur et de plusieurs milliers de tonnes s’était subitement détachée le 8 juillet du gigantesque glacier argentin Perito Moreno, un phénomène unique en plein hiver austral. Les scientifiques ont lié cet événement surprenant aux effets du réchauffement du climat. Outre les images fournies par les satellites de la Nasa, l’agence spatiale américaine, les scientifiques de l’Université d’Ohio ont aussi utilisé des données provenant de caméras d’observation des effets du réchauffement climatique au Groenland.

En antarctique, la situation n’est pas moins alarmante, comme le montre une étude publiée le 13 janvier 2008 dans la revue ’’Nature Geoscience’’. Selon cette étude, la fonte des glaces s’est accélérée de 75 % en dix ans le long des côtes du continent antarctique pour atteindre 192 milliards de m3 en 2006. Eric Rignot du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et l’ensemble des chercheurs ont utilisé des mesures prises par satellites couvrant 85 % de la côte du continent antarctique. D’après les scientifiques, cette fonte des glaces a atteint 132 milliards de m3 sur l’ouest du continent et 60 milliards de m3 dans la péninsule antarctique.

Le continent antarctique est le plus vaste domaine polaire de la planète, situé dans l’hémisphère Sud : grand comme une fois et demie les Etats-Unis, il porte suffisamment de glace pour élever le niveau des océans de près de 60 mètres en cas de fonte totale. Alors que si la totalité de la calotte glaciaire du Groenland fond, par comparaison, le niveau des mers du globe montera de sept mètres.

Le réchauffement du Pôle Nord est, pour sa part, deux fois plus rapide que celui de l’ensemble de la planète. Les glaces de la région arctique ont fondu à un rythme sans précédent l’an dernier, et le phénomène devrait s’amplifier du fait de la diminution de la réflexion des rayons du soleil sur la neige et la glace (albédo). Grâce aux observations réalisées avec ce satellite, la Nasa a constaté que "l’Arctique a perdu environ 10 % de sa couche de glace permanente tous les dix ans depuis 1980.

Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il est possible de faire le tour du pôle Nord en bateau. De nouvelles images satellite ont démontré que la fonte des glaces a permis l’ouverture des légendaires passages du Nord-Ouest et du Nord-Est. La couche de glace couvre désormais trois millions de kilomètres carrés dans cette région, soit environ un million de moins que les minima enregistrés en 2005 et 2006, selon l’agence. "Au cours des dix dernières années, il y a eu une réduction de la couche de glace d’environ 100.000 km2 par an en moyenne, une baisse d’un million de km2 en seulement un an est donc extrême", souligne Leif Toudal Pedersen, du Centre spatial danois. Selon certaines prévisions, la calotte glaciaire arctique, sensible aux bouleversements climatiques, pourrait disparaître totalement d’ici 2040.

Ce réchauffement de l’océan Arctique a eu récemment des conséquences spectaculaires. En septembre, des chercheurs américains et canadiens ont annoncé que la plus importante plate-forme glaciaire de la région arctique, vieille de plus de 3.000 ans, s’était rompue entre 2000 et 2002, une conséquence selon eux du réchauffement climatique à long terme. "Des petits changements concernant la glace pourraient avoir de grandes conséquences sur le cycle de l’eau et finalement sur le climat", selon la Nasa.

Les experts internationaux sur le climat (Giec)(dont fait partie M. Le Treut) ont, dans leur dernier rapport officiel remis en 2007, renoncé à extrapoler la hausse maximale du niveau des océans à la fin du siècle, du fait des incertitudes pesant sur la rapidité de la fonte des glaces du Groenland et de l’Antarctique. L’élévation minimale a été fixée à 18 centimètres jusqu’à la fin du siècle par le Giec, qui a renoncé à fixer une limite maximum, auparavant fixée à 59 centimètres. Selon une étude de novembre du Climate Institute australien, le niveau des mers pourrait monter en cent ans de 1,40 mètre. Quand on sait que 630 millions d’habitants habitent dans les zones côtières, on mesure mieux l’ampleur du désastre que constituerait une telle élévation du niveau des mers.

Toutes ces récentes études nous montrent de manière convergente que si nous voulons éviter de graves tensions en matière d’accès à l’eau potable ainsi qu’une élévation catastrophique du niveau des mers d’ici un siècle, nous devons absolument réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 et de 80 à 90 % d’ici 2100. Ce défi est immense mais l’humanité n’a pas le choix si elle veut transmettre une Terre vivable aux générations futures.

René Trégouët

ASTUCE BLOG ....

Pour rechercher une note parue à telle date ....

aller colonne de droite "calendrier" et cliquer sur le jour...

LE COLLECTIF IMAGE A REPRIS SES ACTIVITÉS

Une douzaine de participants à la séance de rentrée dont 4 nouveaux membres. Un programme chargé ... et un thème de travail "clin d'oeil" pour la prochaine rencontre, le 9 octobre : regard photographique original sur l'auto ou la moto.
Salle Hamono (derrière la mairie de Dol, Place Charles de Gaulle). Apporter appareil et mode d'emploi, papier, crayon...et passion photo ! La séance du 9 octobre sera consacrée à la lecture-critique des photos réalisées et à l'étude concrète des paramétrages de l'appareil.
NB : il est toujours possible de s'inscrire au "collectif", moyennant l'adhésion DPI, 15 euros l'année 2008-2009.
Infos 06 32 12 49 34

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3ÈME BIENNALE PHOTO DE CONCHES

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23 septembre 2008

LA M.J.C. DE DOL A REPRIS SES ACTIVITÉS....

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La MJC, Manoir des Beauvais, a repris ses activités, mais il est toujours possible de s'inscrire !
Contact 02 99 48 37 62 et par E-mail : mjc.dol@wanadoo.fr
Version PDF

22 septembre 2008

CONCOURS PHOTO SALON NATIONAL DE PLOEMEUR

d99f13f09bd0ac4746abadee8629e406.jpgNore ami Claude Coureuil nous informe ....
Ci-dessous, le règlement du 3ème Salon national de Ploemeur (concours) ....
Réglement Salon 2009.doc
Infos complémentaires :

J. Rouquette 06 32 12 49 34

et directement : president@acn-asso.org et www.acn-asso.org/acn

Attention... calendrier !

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21 septembre 2008

LA SALON "BIO-HABITAT-ENVIRONNEMENT 2008

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Une partie de la salle lors de l'entretien de Bernard Bonte et Raymond Léger avec les jeunes...et M. le maire de Dol.
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Hervé Le Treut lors de sa remarquable conférence sur "le réchauffement climatique". L'enregistrement de la conférence sera publié dans le blog, par fragments, dans les meilleurs délais
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Une salle St Samson insuffisamment remplie eu égard à la prestation donnée...
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Attention, le réchauffement est bel et bien engagé et ce de façon durable !Interview express de Hervé Le Treut.

podcast

Alors, que peut-on (doit-on) faire, toujours par Hervé Le Treut ?
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bdd60d7eeb755d719d6be94036721fda.jpgInterview de Tara, 11 ans....
podcast

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Interview express de Raymond Léger, le chercheur indépendant aux 57 inventions ....
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Et le soleil, dont on aura tant parlé ce week-end, fut de la partie !
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Photo Armel Rouault.
"...un relèvement de la mer de 50 à 70 cm d'ici à la fin de ce siècle..." H. Le Treut
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Le groupe musical "sans nom" aura largement animé, discrètement et remarquablement, la 3ème édition du Salon...Plus de 40 exposants et une belle fréquentation...
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Daniel Dubourg et une adaptation du moteur Pantone qui fonctionne avec un ajout d'eau dans le réservoir !
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Marie-Claire Rivoal et Jean-Pierre Roussel, vice-présidente et trésorier de l'association (DPI évidemment !)
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La marmite norvégienne de Daniel Dubourg
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20 septembre 2008

NOUVEAU CONSEIL D'ADMINISTRATION, NOUVEAU BUREAU DPI

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Photo Armel Rouault Réunis en Assemblée Générale annuelle statutaire, les adhérents de "Dol Pays d'Initiatives" ont élu le nouveau conseil d'administration, version 2008-2009, composé de neuf membres : - Marie-Claire Rivoal - Mireille Batut-d'Haussy - Michel Daumer - Elisabeth Reneteaud - Jacques Rouquette - Claude Mounier - Michele Dreux - Jean-Pierre Roussel - Mauricette Daumer Ce conseil sera enrichi de la présence permanente, à titre consultatif, d'un membre de la municipalité de Dol de Bretagne, ainsi que de celle des conseillers de l'association en fonction de l'ordre du jour. Le conseil a procédé à l'élection de son Bureau : Président : Jacques Rouquette Vice-Pdte : Marie-Claire Rivoal Trésorier : Jean-Pierre Roussel Tréso Adjte : Claude Mounier Secrétaire : Michèle Dreux Secrétaire-Adjte : Mauricette Daumer Le nouveau conseil d'administration se réunira le mardi 7 octobre à 20h30.

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19 septembre 2008

DPI VOUS EN DIT PLUS... N°4

Extrait de La Lettre d'Information n°487 du 19-25 sept 2008.

Une étude britannique envisage un réchauffement global de la planète de 4°C


Le pire est devant nous en matière de réchauffement climatique : c’est le message que tente de faire passer Bob Watson, l’un des principaux conseillers scientifiques du gouvernement britannique. Interrogé le 7 août dernier par le quotidien The Guargian, le professeur estime qu’« il est évident que nous devons nous atteler à limiter le réchauffement climatique à 2°C. Mais c’est un objectif ambitieux, et nous ne savons pas comment, dans le détail, réduire les émissions de gaz à effet de serre pour parvenir à ce résultat. Donc nous devrions mieux nous préparer à un réchauffement de 4°C ».

Cette théorie du pire est aussi défendue par le chef du département scientifique du gouvernement britannique Sir David King. Il déclare en effet que même avec un accord global maintenant les émissions de dioxyde de carbone à 450 ppm, proportion qui, selon une résolution du conseil des ministres de l’Environnement de l’Union européenne, éviterait un réchauffement climatique de plus de 2°C, il reste 50 % de chance que le thermomètre dépasse tout de même cette température et une probabilité de 20 % qu’il dépasse 3,5°C. Quand on sait que le taux actuel de CO2 est de 385 ppm et qu’il augmente chaque année de minimum 2 ppm, l’optimisme n’est pas de rigueur.

Une telle perspective serait dramatique pour la planète. Au programme : des millions de personnes touchées par l’augmentation du niveau des mers et océans, 30 % à 50 % de réduction d’eau potable pour le sud de l’Afrique et la région méditerranéenne, et 20 % à 50 % des espèces de plantes et des animaux menacés d’extinction.

« L’impact serait si important que la seule stratégie d’adaptation réaliste est d’éviter à tout prix un tel réchauffement, s’inquiète le professeur Neil Adger de l’école des sciences environnementales, également interrogé par "The Guardian". Nous ne disposons d’aucune donnée scientifique qui nous permettrait de nous adapter à une telle variation. C’est vraiment très inquiétant. »

Confirmation du lien entre réchauffement et très fortes précipitations

Des climatologues américains et britanniques ont confirmé le lien entre le réchauffement climatique et l’accroissement des très fortes précipitations en comparant modèles informatiques et observations par satellite, selon une étude récente. L’amplification des pluies d’une intensité extrême s’est même révélée nettement plus grande que ce qu’avaient prévu jusqu’à présent les modèles informatiques, soulignent les auteurs de cette étude parue dans la revue américaine Science datée du 8 août.

Pour comprendre comment les précipitations répondaient au réchauffement du climat, ces chercheurs ont étudié les changements naturels liés au courant marin chaud El Niño dans le Pacifique sud qu’ils ont utilisé comme un laboratoire pour vérifier leurs hypothèses. En se basant sur vingt ans d’observations faites par des satellites, ces scientifiques ont découvert un lien très clair entre l’intensité extrême des pluies tropicales et la température de l’eau, la fréquence de très fortes précipitations augmentant durant les périodes chaudes et diminuant lors des périodes froides.

"Une atmosphère plus chaude contient davantage d’humidité, ce qui accroît l’intensité des trombes d’eau", explique Brian Soden, professeur de climatologie à l’Université de Miami (sud est), un des co-auteurs de ce rapport. "La comparaison des observations satellitaires avec les résultats des modèles climatiques informatiques permet de mieux comprendre comment les précipitations répondent au réchauffement du climat", ajoute Richard Allan, de l’Université de Reading, également co-auteur de cette recherche.

Un des plus grands défis auxquels fait face l’humanité est de s’adapter aux conditions météorologiques extrêmes résultant du réchauffement de la planète, notent ces scientifiques. Et l’un de ces défis est la plus grande fréquence de très fortes précipitations liée au réchauffement, due à un accroissement des masses humides se condensant dans l’atmosphère. La fréquence des trombes d’eau qui en résulte accroît le risque d’inondations qui peuvent avoir des conséquences économiques et sociétales dévastatrices, expliquent les auteurs de l’étude.

Des pavés purifiant l’air testés aux Pays-Bas

L’université de Hengelo aux Pays Bas affirme avoir développé et testé, sur la base d’une invention japonaise, des pavés contenant du dioxyde de titane, qui transforment les particules d’oxydes d’azote (NOx) émis par les voitures en nitrates inoffensifs, à l’aide du soleil. "Une averse de pluie et tout est propre", affirme l’université dans un communiqué. Les particules de NOx sont la cause des pluies acides et du smog.

LA BAIE DU MONT SUR "ARTE" LE 13 OCTOBRE...

A vos K7 et autres DVD.... ARTE va diffuser une série de documentaires ... ne manquez pas celui du lundi 13 octobre, vous risquez fort de rencontrer Jihelté !!

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Version .pdf du programme

18 septembre 2008

AG VENDREDI 19, SALON BIO LES 20 ET 21 SEPTEMBRE...

Simple rappel du calendrier:

V 19 septembre, 20h30, Salle Hamono à Dol :
Assemblée Générale de notre association DPI

S 20 septembre, 17h, salle d'Honneur de la Mairie, Dol:

causerie avec les Jeunes dans le cadre du Salon Bio, sur les thèmes "réchauffement climatique", qualité de l'eau, les éco-gestes....Avec M. Bonte, président de l'Association d'Ecologie Industrielle et la Ville de Dol.

S 20 septembre, 20h30, salle St Samson (derrière la cathédrale) :
Conférence de Hervé Le Treut, scientifique, spécialiste du climat, académicien des sciences, directeur du Laboratoire de Météorologie Dynamique, membre du GIEC, sur le thème du "réchauffement climatique". Projection du film "Un jour sur la terre" après la conférence. Soirée en "libre participation".

D 21 septembre, de 10h à 18h, Place et salle Chateaubriand, à Dol :

Salon "bio - habitat - énergies - environnement". Plus de 40 exposants, des conférences (le solaire, le moteur Pantone, construire sa maison... film "Guerre et Paix dans le potager")... Service de restauration variée, produits bio ... chauffage, arothermie, biothermie, géothermie.... assainissement, isolation... Animation musicale permanente. Entrée libre.